J'ai encore tout raté !
Tout d’abord, merci.
Merci pour votre gentillesse et votre bienveillance, tous vos commentaires et surtout tous vos compliments à Géraldine. Merci, merci, MERCIIIIII !!!
Du coup, je reviens gonflé à bloc.
Oui, je vous l’accorde, on voit pas bien les ratés comme ça à première vue.
/* Ou alors on les voit que trop ??? */
On va parler de ce qui est vraiment flagrant. Mon encolure est trop large déjà. Mais je mets la charrue avant les bœufs, revenons à nos moutons … /* Folie animalière because salon de l’agriculture ! */
Dans la folie de sweats pré 2020, je m’étais aussi coupée un sweat pour moi. Dans ce fabuleux molleton de chez Mars-Elle acheté à la base AVEC L’ACCORD DE LA BANANE pour lui faire une jupe / un sweat / ce qu’elle voulait. A l’ouverture du paquet, elle a vomit. Ouiii, j’exagère ! Mais elle a dit : non, jamais, never, sans moi !
Bref, elle l’a détesté. /* De l’intérêt de demander à une pré ado son avis. Vous avez deux heures. */
Du coup, je me suis retrouvée avec un mètre de sweat sur les bras.
La première chose que j’ai donc fait …
… a été d’en racheter un second mètre car je n’ai pas réussi à trouver de tissu pour mixer avec.
Ou alors orange, mais là, c’est moi qui voulait vomir.
La seconde bêtise a été de foncer tête baisser avec le patron que je cousais à la chaine à l’époque, soit le sweat Courcelles. J’ai pris la grande taille et paf, j’ai coupé.
SAUF que … j’ai oublié les marges de coutures.
& si sur le corps du sweat, c’est pas trop mal … sur l’encolure, c’est la cata !!!
Donc je me retrouve avec un sweat somme toute sympa, inassortable /* = impossible à assortir et à sortir, à part pour sortir les poubelles ? */ mais très doux.
J’ai cousu un pyjama de luxe.
Alors je danse … sur toutes les photos mais en vrai, je me mords les doigts.
En plus, j’ai choisi la finition « sweat de mémé » d’après mon chéri …
Finition de mémé = poignet resserré, bas droit. Sweat de jeune = manches ET bas resserrés.
Donc, je suis une mémé mais avec un pyjama de luxe. Une vieille poule en gros. Je suis ravie, vous imaginez bien.
L'art de faire des photos où on ne voit RIEN. Noir sur noir, le bel espoir !
Aaah on voit mieux.